La Fondation Fourvière qui souhaitait un bel évènement pour rouvrir son Musée nous a accueillis avec enthousiasme. On visait 15 000 visiteurs : il y en eu bien plus !
Certains sont revenus plusieurs fois tant ils aimaient l’atmosphère de cette chapelle peuplée d’anges et de poissons qui se coloraient des couleurs des vitraux. Il y eut de la musique, des danses, des soirées aux bougies, presque 3000 personnes lors des Journées du patrimoine, la présence fréquente des Marcoville pour répondre aux interrogations de visiteurs.
La Fondation Fourvière a assuré, en coordination avec nous, une campagne de communication très importante pour un coût très maîtrisé. L’exposition était affichée dans le métro en mars, juin et septembre, sur les panneaux Decaux aussi en avril. La presse, les médias audiovisuels, les réseaux sociaux ont relayé des messages durant toute l’exposition et nous adressons un remerciement tout particulier à RCF.
Ainsi personne n’a pu quitter le Musée de Fourvière sans savoir que c’était Amour Sans Frontière qui leur a permis cette expérience artistique et spirituelle au jardin d’Eden. Les bénévoles d’Amour Sans Frontière ont été présents presque tous les jours pour présenter l’Association et encourager les dons : plus de 15 000€ collectés en plus de la billetterie. Quel autre évènement aurait pu nous procurer une telle audience ? L’objectif de notoriété a été largement atteint.
Un évènement d’Amour Sans Frontière n’a de sens que s’il répond à notre mission envers les déshérités d’Afrique. C’est pourquoi nous avions ciblé des villages précis au Nord du Togo pour affecter les dons à la construction de puits et d’écoles.
Le résultat très positif a permis que les 8 forages prévus soient aujourd’hui opérationnels. Ainsi l’Afrique est restée au cœur de l’exposition, c’était notre voeux le plus cher !
